Celle toile part d’une photo que j’avais prise au niveau du Triforium du transept de la cathédrale Notre Dame d’Amiens lors d’une visite.

J’aimais bien cette photo et en la regardant, je me suis dit que je pourrais la peindre avec un singe en premier plan… ne me demandez pas pourquoi… Peut-être parce qu’il existe un singe divin en orient, Hanuman…

Bref, il fallait trouver Le singe.

Parmi mes photos de Tanzanie, aucun ne me plaisait. Et c’est en regardant un montage photo du voyage au Japon de mon oncle Philippe Gueudré que je suis tombée sur ce si tendre couple! C’était parfait!

J’avais réalisé un montage vite fait et commencé la première couche à l’acrylique avant de délaisser la toile qui s’avérait compliquée à exécuter.

Puis fin 2019, j’apprends qu’une exposition est organisée pour les 800 ans de la cathédrale. Cela me remet le pied à l’étrier.

Je termine donc la toile en 2020. Malheureusement l’exposition n’a jamais eu lieu. Elle est exposée au salon « parenthèse éphémère » à salouel (80) en septembre 2021.

Voici un diplodocus se promenant au Parc Saint-Pierre à Amiens.

Il s’agit d’un diptyque : deux toiles de girafe représentées à quelques secondes d’intervalle, le temps que la bulle de chewing-gum éclate. Il fait partie de la série « SavanAmiens ». Il n’y a aucune représentation de la ville d’Amiens dans ce tableau. Il s’agit simplement d’entraîner un décalage de civilisation par l’ajout d’un chewing-gum à une girafe sauvage. Comme pour « Un éléphant sur la rocade amiénoise », je suis partie d’une photo d’une girafe devant le Kilimandjaro prise lors d’un voyage en Tanzanie en 2007. J’avais commencé par un unique tableau de la girafe gonflant une bulle. Pendant la réalisation de cette toile, je me suis rendu compte qu’il serait amusant de réaliser le moment où la bulle se trouverait éclatée sur le museau de la girafe.

On retrouve ainsi encore le côté décalé et amusant que je veux donner à mes tableaux.

N'hésitez pas à me contacter si vous êtes interressés ;)

Il s’agit d’un diptyque : deux toiles de girafe représentées à quelques secondes d’intervalle, le temps que la bulle de chewing-gum éclate. Il fait partie de la série « SavanAmiens ». Il n’y a aucune représentation de la ville d’Amiens dans ce tableau. Il s’agit simplement d’entraîner un décalage de civilisation par l’ajout d’un chewing-gum à une girafe sauvage. Comme pour « Un éléphant sur la rocade amiénoise », je suis partie d’une photo d’une girafe devant le Kilimandjaro prise lors d’un voyage en Tanzanie en 2007. J’avais commencé par un unique tableau de la girafe gonflant une bulle. Pendant la réalisation de cette toile, je me suis rendu compte qu’il serait amusant de réaliser le moment où la bulle se trouverait éclatée sur le museau de la girafe.

On retrouve ainsi encore le côté décalé et amusant que je veux donner à mes tableaux.

N'hésitez pas à me contacter si vous êtes interressés ;)

C'est la première toile de ma 3ème série "SavanAmiens".

Je voulais faire une peinture d’éléphant à mon père pour Noël. J’ai donc recherché des photos d’éléphants que j’avais prises lors d'un superbe voyage en Tanzanie en 2007. J’ai trouvé une photo d’un éléphant légèrement apeuré traversant une route    africaine.

Au début, je voulais faire comme les "pet portraits": trouver un accessoire à mon éléphant et faire un fond neutre (j'avais d'ailleurs opté pour des lunettes).

Puis je me suis dit que j'allais "profiter" du mouvement de l'éléphant pour le placer dans un milieu décalé (le milieu serait alors "l'accessoire" de l'éléphant). J'ai donc opté pour la rocade amiénoise. J'ai demandé à mon chéri de m'y conduire pour que je puisse faire des photos. On a pris la rocade au nord, il y avait un brouillard monstre, mais, heureusement pour moi, le brouillard s'était dissipé pile à la sortie que je voulais ! Il s'agissait de la sortie n°32 Amiens/Henriville, celle que mon père emprunte le plus souvent.
J'ai ensuite utilisé Powerpointⓒ pour détourer grossièrement l'éléphant, recadrer la photo de la rocade et disposer mon sujet où je le souhaitais.

Ce photo-montage surprit beaucoup de monde. En effet, des amis étaient venus lorsque je finalisais ce tableau et lorsqu'ils passaient derrière moi ils me disaient : "bah tu regardes quoi comme modèle sur ton téléphone ?". Je leur montrais ma photo et répondais "et bien la photo que j'ai prise sur la rocade !". Ils rigolaient bien en la voyant, se demandant comment j'avais fait pour prendre en photo un éléphant qui traversait la rocade !

Cette œuvre est celle qui, à mon sens, représente le mieux ce que je veux faire en tant qu’artiste : Créer des décalages, amusants si possibles.

Je pense qu'un tableau doit procurer une émotion, et j'aime procurer de la joie et de l'amusement dans mon œuvre.